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Le poison secret dans votre nourritureChère lectrice, cher lecteur L’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) a lâché une bombe vendredi 16 juin. Elle a classé le bisphénol A dans la catégorie des substances extrêmement préoccupantes, soit le plus haut niveau de toxicité selon les critères de l’Agence européenne. Cette victoire intervient trop tard : les effets désastreux du bisphénol A affectent déjà des millions de citoyens victimes de cancer du sein, malformations génitales, diabète, troubles du comportements (autisme, hyperactivité, etc.) ! Mais de toutes façons, le biphénol A n’est plus le problème. Interdit depuis le 1er janvier 2015 dans les récipients alimentaires, il a été remplacé par le bisphénol S, son frère jumeau en encore pire ! Selon le Pr Jean-François Narbonne, expert toxicologue à l’ANSES :
Oser regarder la situation en faceOn sait que deux siècles de développement industriel ont abouti à ce que notre environnement, et donc notre nourriture, et donc nos corps eux-mêmes, soient désormais envahis par :
En parallèle, le mode de vie moderne nous expose également à de nombreuses toxines qui agissent comme des poisons sur l’organisme : particules fines issues des moteurs diesel, métaux lourds (plomb, mercure, cadmium), les polluants des nappes phréatiques issus de l’agriculture conventionnelle, les dioxines dues aux incinérateurs de déchets ménagers. Face à ces menaces, manger biologique est devenu indispensable, et surtout sélectionner les aliments entiers, que l’on peut reconnaître, par opposition aux plats préparés et aliments transformés. Autres précautions indispensables
Je pense en particulier à cette micro-algue extraordinaire qu’est la chlorella, qui bloque les métaux lourds et augmente l’excrétion urinaire (élimination par les urines) du métal lourd cadmium.3 Traditionnellement, nos ancêtres consommaient aux changements de saison des aliments qui avaient la réputation de « nettoyer le sang » : cure de sève de bouleau au printemps, pissenlit pour stimuler le foie et le pancréas et extraire les toxines du sang, carottes crues pour nettoyer le foie, myrtilles et jus de myrtille en été, pommes crues et jus de pomme frais à l’automne réputés pour « éloigner le médecin », ail toute l’année.
La bonne eau est celle qui est le moins chargée possible en chlore, résidus de médicaments, plomb, aluminium et phtalates, tous produits malheureusement présents dans l’eau du robinet. L’idéal est d’installer un filtre à osmose inverse pour filtrer l’eau du robinet. La seconde solution est de boire de l’eau de source en bouteille. Ces deux solutions sont coûteuses. L’eau en bouteille en plastique produit beaucoup de déchets. C’est donc un problème qu’il va falloir traiter collectivement.
L’idéal est de choisir des vêtements en laine, coton, lin ou autres fibres végétales, colorés par des teintures naturelles. Le problème des vêtements est le même que celui des textiles et revêtements qui nous entourent en voiture, à la maison et dans les lieux publics. Si vous avez la possibilité de vivre dans une maison ancienne faite de bois, brique, pierre, chaux, ou mieux encore, de terre crue, c’est autant de polluants que vous ne respirerez plus. A votre santé ! JM Dupuis ****************************** Si vous n’êtes pas encore abonné à La Lettre Santé Nature Innovation et que vous souhaitez vous aussi la recevoir gratuitement, inscrivez-vous ici. ****************************** Pour être sûr de bien recevoir La Lettre Santé Nature Innovation sans qu’elle se perde dans votre boîte de messagerie électronique, visitez la page suivante. ****************************** Si vous souhaitez commenter cet article, je vous invite à le faire ici. ****************************** Si vous pensez que ce message pourrait intéresser un ami ou un proche, n’hésitez pas à le lui transférer par email (utilisez la fonction « transférer ce message » dans votre boîte de messagerie électronique). Pour partager cet article, vous pouvez utiliser l’un des réseaux sociaux suivants : |